On partage une matsa, pain de misère, pour témoigner que l’on est prêt à partager le pauvre. Cette coutume introduit tout naturellement l’invitation du Ha La’hma : « Quiconque a faim, vienne et mange ! ».
L’appel à l’espérance et à la résistance de la seconde partie du Ha La’hma s’appuie sur le souvenir de cette libération passée. Nous serons à nouveau libérés comme comme les esclaves hébreux.
Le levain symbolise le mal. La fermentation rend généralement un aliment impropre à la consommation. Ce n’est que parce que la fermentation est arrêtée par la cuisson que le pain est mangeable. La matsa, par l’absence de levain est un symbole de bien.
Le vrai sens de Pessa’h : ce n’est pas l’anniversaire de notre soulèvement bien préparé à l’avance mais le départ précipité d’un peuple abruti par l’esclavage et qui n’a même pas le temps de faire cuire son pain. C’est Dieu qui libère.
Ya’hats et Ha La’hma
L’appel à l’espérance et à la résistance de la seconde partie du Ha La’hma s’appuie sur le souvenir de cette libération passée. Nous serons à nouveau libérés comme comme les esclaves hébreux.
Le levain symbolise le mal. La fermentation rend généralement un aliment impropre à la consommation. Ce n’est que parce que la fermentation est arrêtée par la cuisson que le pain est mangeable. La matsa, par l’absence de levain est un symbole de bien.
Le vrai sens de Pessa’h : ce n’est pas l’anniversaire de notre soulèvement bien préparé à l’avance mais le départ précipité d’un peuple abruti par l’esclavage et qui n’a même pas le temps de faire cuire son pain. C’est Dieu qui libère.